Sociochimie

Développer un langage entre la chimie et la sociologie

photo du lancement de la deuxième cohorte desociochimie

La 2e cohorte d'artistes en résidence arrivée!

Le Groupe de recherche en environnement et biotechnologie (GREB) et le Laboratoire en innovation ouverte (LLio) du Cégep de Rivière-du-Loup s’associent afin de copiloter une recherche-création impliquant, cette automne, une artiste professionnelle et trois étudiant·e·s  du Cégep de Rivière-du-Loup en résidence au fablab Fabbulle, dans le cadre du projet PRISME de recherche: «À la découverte de la sociochimie». L’initiative est financée par le Fonds de recherche du Québec – Nature et technologies et Société et Culture.

Dans le cadre de ce projet, 6 ateliers de recherche-création en compagnie du LLio et du GREB, permettront de développer la réflexion menant à la création d’une oeuvre ou  d’un dispositif sociochimique, résultant du  processus impliquant les deux disciplines.

Pour consulter la précédente cohorte, cliquez ici.

Les douleurs fantômes chez les personnes amputés

Démarche artistique : Depuis dix ans, j’explore le medium de la pellicule, essentiellement Polaroid, 35mm et Super-8 en noir et blanc et en couleur, afin de donner à voir des séries photographiques et des films en relation avec l’humain. Je suis particulièrement attachée au développement à la main, au travail sur la texture de la pellicule et aux expérimentations lorsqu’elles font sens avec les sujets de mes projets.
À travers une pratique artistique à la croisée du documentaire expérimental et du portrait, j’ai pour objectif d’illustrer l’intime. Mes projets se fondent à mes réflexions personnelles en lien avec le féminisme intersectionnel et plus particulièrement les questions qui concernent le corps des personnes en situation de handicap. J’écris depuis ma place privilégiée de personne valide et neurotypique. La question du handicap me touche indirectement puisque ma mère est handicapée en raison d’une maladie évolutive et sa sœur jumelle était porteuse d’une lourde déficience intellectuelle qui impliquait qu’elle a vécu en centre adapté pendant plus de trente ans.
Dès l’enfance, j’ai développé une sensibilité particulière au regard que l’on porte sur le handicap et aux représentations qu’on en fait. Mes images fixes et en mouvement s’attachent à mettre en lumière celleux qui s’éloignent du corps normé ou celleux dont le corps a été meurtri, afin de faire naître une nouvelle poétique des visages et des corps.

Photo de Sarah Seene

Sarah Seené, artiste professionnelle

Pierre-Étienne Petit et Karianne Arsenault, étudiant·e·s en Technique de Génie électrique et Gestion et intervention en Loisirs

Mettre les émotions en lumière?

Démarche artistique : À venir

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